Défi du Lundi de My Beauty : mon parcours cosmétique
Publié le 27 Avril 2015
My Beauty nous propose un bien joli défi en ce lundi : dévoiler son parcours cosmétique. Comment en sommes-nous toutes arrivées là ? Ou tous, ne soyons pas sectaires. Quel traumatisme avons-nous subi pour aimer parler beauté, make up et soins en tous genres, tous les jours ou presque ?
C'est parti pour une séance divan.
Quels ont été vos tout premiers produits cosmétiques (soins et maquillage)? Quel âge aviez-vous?
Je n'étais absolument pas autorisée à porter du maquillage adolescente. Par ailleurs, j'ai une maman fanatique de parfums mais qui plébiscite peu les crèmes et le make up. J'étais donc naturellement peu portée vers ces produits. Mais j'adorais les miniatures de parfums que je collectionnais d'ailleurs. Mon premier vrai parfum m'a été offert pour mes 14 ans, c'était un flacon d'Anaïs Anaïs de Cacharel. Il demeure ma madeleine de Proust. Concernant les soins, j'ai commencé avec des sticks hydratants pour les lèvres en entrant au collège. J'en avais toujours un dans mon sac de cours, dans ma poche, dans ma chambre... J'en semais de partout. Puis je suis passée aux déodorants parfumés girly et aux eaux de toilette.
Au fil du temps, comment avez-vous évolué?
Je suis restée une grande consommatrice de soin, de parfum et de make up de façon plus raisonnable, en comparaison du moins...
Quels produits utilisiez-vous à 20 ans, à 30 ans, à 40 ans?
Durant mes études, j'ai vaguement travaillé dans un fast food, l'horreur pour moi, avant de postuler chez Sephora, qui, comble de la joie, cherchait quelqu'un. Autant vous dire, que ma consommation a augmenté avec mes connaissances produits. J'utilise toujours autant de choses, mais je cible mieux, je connais mieux ma peau et mon visage. Je sais donc ce qui me convient et ce que je dois fuir. Je peux oublier tous les produits éclat, lissant, les fards nacrés et pastels, les fonds de teint poudrés, les vernis irisés, etc.
Quand la passion des cosmétiques vous a-t-elle saisi?
Quel regard portez-vous sur cette évolution?
Je pense qu'elle est logique, dans ma logique du moins. Je me dis que je ne suis pas toujours sensée : j'ai envie et besoin de nouvelles matières, de nouvelles textures. C'est une vraie drogue. J'ai beaucoup de mal à résister !
Comment évaluez-vous votre rapport aux cosmétiques aujourd’hui?
C'est un vrai plaisir. J'ai besoin de ces moments de détente et de soin. Je prends alors du temps pour moi, même si ce sont quinze petites minutes.
Comment voyez-vous l’avenir? Quel sera votre rapport aux cosmétiques dans 5 ans, dans 20 ans?
J'ai fait des études longues en continuant à travailler chez Sephora et en y évoluant. Puis j'ai poursuivi ma vie active en m'ancrant solidement, je l'espère, dans ce domaine professionnel. Mon amour des cosmétiques ne risque donc pas de s'éteindre !
Mais... ce n'est pas grave Docteur, rassurez-moi ?